La vrai face de Niamo

Nom: Konno

Prénom: Niamo

Deuxième prénom: Leïla

Age: 19ans

Sexe: Humm je pense être une fille

Sexualité: Qui peux savoir a par toi ?

Origines: New Yorkaise

Famille: Un beau père, et un frère qu’elle n’as pas revue…

Description physique:

Niamo est une jeune fille plutôt de taille moyenne, elle s’habille souvent avec des petits top très sexy, et mini jupes. Ses longs cheveux roses, raides lui arrivent aux reins et sont souvent libres même si elle aime ses faire des nattes ou des queues de chevals et couette basses. Elle à l’air presque irréelle. Ses yeux, en amande sont d’un maron clair qui ne laissent passer ses émotions que quand elle le veux bien. Elle a des lèvres pleines et maquillées de glosses. Ses formes sont plutôt généreuses, et si c'est pour survivre, elle n'ésite pas a les montrée. Elle n'est pas vraiment pudique. D’une stature frêle, elle ressemble à une statue tellement son air est impassible. Ses épaules, souvent nues forment une courbe quelque peu osseuse et sa hanche est en forme de lyre. Mince, à la limite du maigre, Niamo est plutôt mignone dans son genre. C'est une fille banale. Et cependant, elle a quelque chose dans son allure qui envôute...

Description de la personnalité:

Niamo est une personne vifs et charmante. Elle est toujours aimable et d'une politesse exquise. La fille est d'une grande gentillesse qui cache bien des choses. Niamo n'a guère de conscience en réalité. Elle se débrouille par tous les moyens pour vivre. Elle ne parle que rarement de ses expériences douloureuses. Elle passe pour une fille de bon sens, d'un naturel optimiste. Elle restait toujours maîtresse de elle même. Du moins en apparence. Niamo est manipulatrice elle cherche à manipuler tout le monde par tout les moyens, son visage fins la fait passer pour quelqu'un qui n'a pas eu d'histoire, mais la réalité est bien caché. Elle garde une part de mystère en Elle qui ne peut pas s'expliquer. Son regard est calme, ce qui cache bien des choses.

Histoire:

Niamo est né dans une famille assez riche de New York. La jeune fille n'avait que trois ans à la mort de son père, descendant d'une famille de la haute société new-yorkaise. La fortune familiale fondé depuis des années, et la mère de Niamo avait rapidement dilapidé ce qu'elle avait hérité de son époux. Peu de temps après la mort de son mari, elle avait épousé un jeune aristocrate, héritier d'une riche famille de banquiers, qui s'était tout de suite attaché à Niamo et à son frère et sa soeur. Il les avait aimés et éduqués, inscrit dans les meilleures écoles privée, tout comme leurs demi-frères nés de ce mariage. La famille semblait sans histoire, ne manquait pas d'argent, mais le penchant croissant de sa mère pour la boisson avait fini par la conduire dans une institution, où elle était morte, laissant Niamo, son frère et sa soeur orphelins. Leur beau père, qui ne les avait pas adoptés, s'était remarié un an après la mort de leur mère. Sa nouvelle femme ne voyait pas pourquoi son mari se serait encombré de trois enfants qui n'étaient pas les siens. Elle avait bien voulu prendre en charge les deux fils qu'il avait eus de sa précédente union, mais avait tenus à ce qu'ils soient envoyés en pension. Quand aux trois autres, elle ne voulait tout simplement pas en entendre parler. Le beau père de Niamo avait cependant payé leurs études, et leur avait alloué à chacun une modeste somme, en leur expliquant, un peu honteux, qu'il ne pouvait plus les acceillir chez lui ni leur accorder davantage d'argent. Après cela, Niamo avait passé ses vacances chez des camarades auprès desquels elle avait joué de son charme pour se faire, inviter. Après la mort de sa mère, Niamo avait appris à vivre de ce charme dont elle ne manquait pas. Elle ne possèdait rien d'autre, mais savait s'en servir à son avantage. Durant ces années-là, Elle ne trouva d'amour et de soutien qu'auprès des parents de ses amis .Il y avait souvent de petits incidents, lorsqu'elle passait les vacances scolaires chez des camarades. De l'argent disparaissait, des raquettes de tennis s'évaporaient mystérieusement. Des vêtements n'étaient jamais rendus. Un jour, une montre en or s'était volatilisée en entraînant le renvoi du jeune domestique. On avait découvert plus tard que Niamo couchait avec lui. Âgé de seize ans à l'époque, elle l'avait convaincue de voler l'objet pour elle, et le produit de la vente l'avait maintenu en fonds pendant six mois. Sa vie était une lutte perpétuelle pour trouver l'argent nécessaire à ses besoins. Et elle faisait ce qu'il fallait pour y arriver. Toujours aimable et polie, elle était d'une compagnie si agréable qu'elle n'était jamais inquiétée, quand les choses se gâtaient. Sa gentillesse la mettait au-dessus de tout soupçon, et personne n'aurait imaginé qu'elle puisse être capable du moindre méfait. Quand le psychologue de son école avait émis l'idée que Niamo avait des tendances sociopathes, le directeur lui-même n'y avait pas cru. Clairvoyant, le psychologue avait deviné que, sous le vernis, Niamo n'avait guère de conscience. Mais le vernis ne manquait pas d'attraits. Au-delà des apparences, il était difficile de savoir ce qu'elle était. Avant tout, c'était une débrouillarde qui charme pour se faire, inviter. Au-delà des apparences, il était difficile de savoir ce qu'elle était. Avant tout, c'était une débrouillarde qui cherchait à survivre, qui avait accumulé les coups du sort. Elle n'avait que elle sur qui compter. Elle avait été marquée à jamais par la mort de ses parents, l'abandon de son beau-père qui l'avait presque laissait sans ressource, l'éloignement de son frère et de sa soeur qu'elle n'avait pas revus depuis qu'elle était en pension dans d'autres écoles de la côte est. Plus tard, elle avait appris que sa soeur s'était noyée, et cela l'avait encore un peu plus meurtri, elle qui n'avait déjà pas été épargnée. Elle parlait très peu de ces expériences douloureuses, passait pour une fille de bon sens d'un naturel optimiste. La vie n'avait pas été tendre avec elle mais à la voir, personne ne s'en serait douté. On ne voyait pas de traces visibles des souffrances qu'elle avait endurées. Les cicatrices étaient bien enfouies, soigneusement cachées. Les mecs lui tombaient dans les bras et les filles appréciaient sa compagnie. Niamo voulait tout et elle avait toujours un plan. Son beau père avait tenu sa promesse et payé ses études pour l'envoyer à Harvard dès un âge déjà très jeune. Elle sortie de cette prestigieuse école diplômé de la tête au pied. Elle décidât dès l'âge de 19 ans de prendre un poste de Mannequin pour pouvoir gagner sa vie honnêtement. Elle a parcourut le monde pour enfin atterrir sur cette île

Emploi: Manequin

Problème de santé? Sociopathe ?

Code 1: HAVANE

Ou avez vous connu le forum? Qui c’est…